01 FEVRIER
INDI-UNI : ANTHROPOLOGY - ARCHAEOLOGY
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USA – Danville - A 158-acre tract of land acquired by the Danville Industrial Development Authority for development as industrial sites has turned up some surprises — remnants of a plantation dating back to the 1700s, as well as signs of outbuildings and a cemetery. The property is located on Gypsum Road, with road frontage on Celotex Way as well. It stretches back to the banks of the Dan River. In 1783, Thomas Fearn — one of the original trustees of the Town of Danville — began acquiring property in that area, ultimately owning more than 1,200 acres. By 1823, the property had changed hands and his descendants had scattered around the country. Now, the only signs left of the Fearn family at the site are foundations and some bits of floors for the main house, what appears to be a separate kitchen, barns and other outbuildings, slave quarters, a cistern, a well and outhouses. The only sign of a cemetery is one simple headstone that reads “Fearn Burying ground” and depressions in the ground that indicate there could be as many as 100 graves at the site, according to Lyle Browning, the investigative archeologist handling the site studies for the IDA.
http://www2.godanriver.com/news/2012/jan/31/centuries-old-bones-could-halt-danville-industrial-ar-1654069/
GRECE – - Athènes - une étude des navires représentés sur la Tour des Vents (bâtiment d'époque romaine) montre de nombreuses analogies avec des navires d'Europe du nord.
http://www.tovima.gr/culture/article/?aid=439884
FRANCE – Niort - A la faveur des travaux entrepris par la CAN pour améliorer le réseau d'assainissement, avant la métamorphose programmée du parking tristounet en jolie place à vivre, les engins de terrassement ont mis au jour des vestiges fort intéressants. « Les sondages réalisés au début des années quatre-vingt-dix en vue d'un projet de parking avaient déjà livré des indices d'occupation carolingienne. Donc antérieure à l'édification du château. Les mentions les plus anciennes dont nous disposons font état d'un premier castrum au Xe siècle, édifié un peu plus loin que l'actuel donjon », indiquait l'archéologue. Le sous-sol de la place recèle sans doute bien des informations sur l'histoire architecturale du lieu. Mais les explorateurs du temps, dont la mission prenait fin hier soir, ont dû, pour tenter de la reconstituer, se contenter des saignées ouvertes pour l'installation d'un conduit spécifique des eaux pluviales. Frustrant. La découverte faite tout près du parvis des halles, là où se trouvait autrefois l'entrée de l'enceinte du château de Niort – rappelons que le Donjon n'en est qu'une infime partie –, n'est pas la moins captivante. « Nous avons retrouvé des morceaux de poteries et de vaisselle médiévales, des os de porc et de poulet, ainsi qu'une zone noire qui correspond certainement à un foyer, révèle Emmanuel Barbier.L'endroit a sans doute servi de poubelle. La nature des céramiques nous permet de dater ces vestiges du Moyen Age. Sans doute du XIe ou XIIe siècle, mais les analyses de la céramologue le diront avec précision. » La tranchée a également mis au jour de nombreux murs de pierre et même, sous la place, de belles voûtes en ogive. Situées en face du Donjon, celles-ci ne manquent pas de titiller l'imaginaire du profane. Un souterrain pour rejoindre incognito la forteresse ? L'archéologue songe plus sûrement à des caves construites dans d'anciennes carrières ayant servi à l'édification du château. « Sans élément d'ornement, la datation est difficile. Pour l'heure, il est plus vraisemblable que ces caves datent du XIXe siècle. » Les pelleteuses vont hélas refermer la parenthèse archéologique dès aujourd'hui. Ce mystère-là demeurera.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/communes/Niort/n/Contenus/Articles/2012/02/01/De-la-vaisselle-medievale-au-pied-du-parvis-des-halles
FRANCE – Saint-Sylvestre-sur-Lot - Commencé le 19 septembre 2011, le chantier des fouilles de La Mariniesse s'est terminé mi-janvier 2012. Dans ce projet de lotissement sur une surface de 5 ha, le diagnostic sur prescription du DRAC (Service régional d'archéologie d'Aquitaine) avait décelé des vestiges intéressants dans un contexte archéologique privilégié sur ce terrain jouxtant les bords du Lot : poteries, restes humains, accumulation de galets qui pouvaient correspondre à la Préhistoire. Les vestiges trouvés englobent plusieurs époques : premier âge du Fer, période gallo-romaine, époque médiévale, et jusqu'aux cultures du début du XXe siècle. Pour le premier âge du Fer, ce sont des tombes sous la forme de fosses contenant des vases servant de réceptacle aux restes de crémation du défunt, ainsi que d'autres ayant servi de dépotoirs avec des déchets céramiques ; l'ensemble se situant entre le Ve et le VIe siècles avant notre ère. Pour l'époque gallo-romaine, il s'agit d'un bâtiment rectangulaire sur solins de grès blanc avec une galerie de façade ouverte vers l'est. Probablement, une exploitation agricole avec maison d'habitation et communs. Des structures de stockage souterrain de type silo datent elles aussi probablement de cette époque. Des fragments de céramiques retrouvés dans le comblement supérieur d'un fossé attestent d'une fréquentation du site à l'époque médiévale (XIIe-XIIIe siècles). De l'époque moderne, les restes de fondations d'un bassin lié à la captation d'une source, un front de taille pour prélèvement de la grave, des traces de plantation (arbres et vigne). Des découvertes intéressantes pour l'histoire d'un terroir. Cependant, si le terrain a été rendu à la commune, le travail de l'archéologue n'est pas terminé. Six mois encore d'études sont nécessaires au centre archéologique de l'INRAP et en laboratoire, études qui « permettront d'argumenter l'histoire de cette terrasse en rebord du Lot ».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/01/1274675-saint-sylvestre-sur-lot-la-mariniesse-fin-des-fouilles-archeologiques.html
FRANCE – Blaye - L'église s'apprête à faire peau neuve. L'église Sainte-Luce, délabrée et envahie par les pigeons, c'est bientôt fini ! Pour connaître le délai exact des travaux de rénovation, il faudra attendre les mois à venir. Pour ce lieu très ancien de Blaye, les services régionaux compétents ont donc décidé de réaliser un diagnostic archéologique préventif. Des fouilles ont été réalisées en 2011 et « le 29 septembre, le verdict est tombé : autorisation de travaux », précise Patricia Merchadou. Les fouilles ont mis à jour un ancien cimetière aux alentours de la chapelle. « Ces découvertes ne sont pas d'une importance capitale. Mais nous devons, ne serait-ce que par respect moral, faire tout pour ne pas l'abîmer.
http://www.sudouest.fr/2012/02/01/sainte-luce-restauree-620987-630.php