02 SEPTEMBRE 2016 NEWS: Euromos - Nasium -
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TURQUIE – 
Euromos - The Zeus Lepsynos Temple from the 2nd century B.C. will be revived to regain its former glory, as archaeological excavations continue in the ancient city of Euromos in the western province of Muğla’s Milas district. Muğla Sıtkı Koçman University Archaeology Department academic and Euromos excavations head Abuzer Kızıl said the excavations in the ancient city had restarted five years ago after a 36-year hiatus. Kızıl said cleaning, drilling, geophysical, mapping, culvert and excavation works have been carried out in recent years in the temple, agora, theater, necropolis, bath and walls of the ancient city. He said they had important projects to carry out on the Zeus Temple, adding that lots of architectural ruins still existed in the temple. Stating that the Zeus Temple was one of the best preserved temples in Anatolia, Kızıl added, “Among 17 pillars in the temple, 16 are still surviving with their beams. We will continue documenting the architectural elements of the temple.” He said their goal was to revive the blocks on the ground through a comprehensive restoration work and make the temple glorious again. Kızıl said that due to its location, Euromos was one of the luckiest ancient cities in Anatolia, and that it was also one of the significant cities of Karia. The Zeus Temple is located by the wayside of the Milas-Söke highway. It is believed that it was constructed in the time of Emperor Hadrian.
http://www.hurriyetdailynews.com/zeus-temple-to-regain-its-glory-.aspx?pageID=238&nid=103434
FRANCE – 
Nasium - Le site de Nasium, ''ville des Leuques'' comme le dénommait Ptolémée, le géographe contemporain du second siècle de notre ère, est un des sites archéologiques les plus vastes de notre pays. Sur les hauteurs du petit village de Saint-Amand, des fouilles entreprises il y a de cela plusieurs années, ont permis de dégager alors, des murs et des fondations du plus grand sanctuaire comptant parmi les dizaines du site dédié à de multiples divinités. Ce dernier était fréquenté exclusivement par des prêtres, les fidèles devant se contenter du péribole (galerie périphérique). Situé à moins d’un kilomètre de l’oppidum de Boviolles, les pierres ont souffert de cette exposition aux intempéries, il a été décidé de recouvrir alors le site prochainement afin de conserver idéalement ces vestiges. Mais avant, une dernière mission programmée cette dernière semaine d’août doit encore être menée autour de ce sanctuaire construit après la guerre des Gaules (au milieu du premier siècle de notre ère). Elle devrait mettre en lumière, des indices qui prouveraient que quelques dizaines d’années auparavant, à l’époque gauloise cette fois, le site était déjà occupé. Ainsi, sous la direction de Bertrand Bonaventure, un groupe d’une dizaine de bénévoles composé d’étudiants, d’enseignants et de professionnels, vérifie la stratigraphie et donc par raisonnement, la chronologie des lieux.