03 MAI 2018: Krefeld - Wigan - Yquelon - Trois Rivières -

INSTITUT SUPERIEUR D'ANTHROPOLOGIE

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SUMMER TERM : JULY 2018

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ALLEMAGNE2b49cb9538c037166d8f1e92a984147f4150f0c9d58b2ee83ccfdc4dcfacbd27 Krefeld - Tens of thousands of artefacts were dug out of sand and clay near the Rhine, archaeologists in Krefeld announced in April. A recent 10-month excavation along the Rhine revealed a wealth of previously-unseen Roman ruins, including hundreds of coins, weapons, horse skeletons, jewellery, helmets, and the artfully decorated belt buckle of a soldier. Packed in boxes, the relics span over 75 cubic metres. In the small town just outside Düsseldorf, nearly 6,500 graves were found dating from between 800 BC and 800 AD, which often contained valuable burial objects. It is one of the largest ancient cemeteries north of the Alps. Halfway between the ancient towns of Neuss and Xanten on the Lower Rhine, the Romans established a military camp in what is now Krefeld around 69 AD. Directly on the border of the Roman Empire, the area was chosen due to its strategic location on a small hill across from an important trade route to Germania. The Romans called the place Gelduba: Today, this district of Krefeld is called Gellep. The famous historian Tacitus was the first to mention Gelduba, which was the scene of a massive battle between Romans and Batavians in 69 AD when Germanic Batavian prince Iulius Civilis started an uprising against the Romans in the Rhine-region. About 20,000 men - both Romans and Batavians - fought in Gelduba. The more than 300 horse skeletons recovered by archaeologists in recent digs likely stem from this massive battle. After the bloody slaughter, the Roman military built a military fort in the town and stayed until the beginning of the 5th century. During its time under Roman rule, Krefeld was often visited by auxiliary troops from Spain, who drank wine from their homeland and even built a heated swimming pool on the armoury's grounds.

https://www.thelocal.de/20180502/roman-relics-found-in-rhein-region-show-evidence-of-bloody-uprising

ROYAUME UNI Wigan Wigan - An excavation was conducted in 1993 on the south side of Bryn Road in Ashton, which uncovered evidence of the route from Coccium to the Roman fort at Wilderspool. And now Wigan Archaeological Society has confirmed that further exploration has established the remains of a 50-metre stretch at nearby Landgate in Bryn. Years of ploughing have removed most of the upper metalling of the road - but surviving parts are represented by fine compacted pebbles. And a foundation layer of red and yellow sandstone, quarried at nearby Ashton, is still intact. Bill Aldridge, of the archaeological society, said: “It shows the road to have been about six to seven metres wide. “This is smaller than expected but matches the section of the road discovered in 1993 on the other side of Bryn Road. “It adds to the many other Roman finds in the Wigan area, including the famous bathhouse found in 2005.

https://www.wigantoday.net/news/environment/archaeologists-find-roman-road-from-wigan-to-warrington-1-9146164

FRANCE9a050657e26b83d2d8d800e67bc2b622 yquelon il y avait certainement un edifice anterieur l eglise Yquelon - François Caligny-Delahaye et Lydia Guérin archéologues à l’Inrap ont effectué un diagnostic dans le cadre des travaux de restauration de l’église Saint-Pair qui se déroulent actuellement. « Nous avons procédé à cinq sondages répartis sur le tracé du futur drain. Nous avons trouvé plusieurs sépultures anciennes, dont une antérieure au XIIe siècle date de construction de l’église. Cette découverte est très importante pour l’histoire de l’église d’Yquelon. Cette sépulture signifie qu’un édifice existait vraisemblablement avant l’église actuelle. Une datation au carbone 14 va être réalisée sur des ossements recueillis. Il pourrait s’agir d’une sépulture associée au premier édifice de culte chrétien qui se serait implanté, à Yquelon, autour des VIIe-VIIIe siècles. C’est à cette période que se développent progressivement les cimetières autour d’églises nouvellement fondées au milieu des habitats.

https://www.ouest-france.fr/normandie/yquelon-50400/yquelon-il-y-avait-certainement-un-edifice-anterieur-l-eglise-5724657

CANADACfdcb333 30a2 4cb6 bfd8 850efd82959a jdx no ratio web Trois Rivières - L'édifice Capitanal est bien connu à Trois-Rivières, mais peu de gens savent que ce nom vient du chef amérindien qui a accueilli les premiers colons français. Pierre Saint-Yves vient de réaliser une série de capsules sur l'histoire de la création de Trois-Rivières. «Capitanal, c'est le chef amérindien avec qui Champlain a conclu entente pour s'installer ici», dit-il dans l’une d’elles. C'était en 1634.Dès le départ, les relations sont assez cordiales entre les Amérindiens et les colons français pour qu'un campement de 600 autochtones s'installe tout près du premier fort. «Cette première année fut très difficile. Les premiers Trifluviens vont mourir en 1635, dès leur premier hiver, et ils seront enterrés ici, tout près du fort», a raconté M. Gendron. Des fouilles archéologiques menées en 2012 ont permis de retracer, sous la place Pierre Boucher, ce qui pourrait être le premier cimetière catholique de Trois-Rivières.Tout près, plusieurs dépouilles amérindiennes ont été découvertes juste au pied du monument au Sacré-Coeur, à deux pas de l'édifice Capitanal. Parmi elles, une sépulture en particulier a intrigué les archéologues. «Qui est-il? C'est assurément un Amérindien à cause de sa position dans la fosse, mais aussi des objets trouvés dans la sépulture. On a trouvé des perles, des balles de mousquet, un petit couteau courbé, comme ceux utilisés par les Amérindiens. C'est sûr qu'il s'agit d'un personnage important», a dit Pierre Saint-Yves.Il s'agirait de la plus vieille dépouille amérindienne découverte au Québec. Son nom n'était évidemment inscrit nulle part, mais Pierre Saint-Yves ajoute: «J'aime croire que les archéologues ont touché Capitanal, ou à tout le moins, ils ont touché des membres de sa communauté qui ont vu arriver les premiers colons français à Trois-Rivières.» Le mystère risque de ne jamais être totalement éclairci.

http://www.journaldemontreal.com/2018/04/27/chef-amerindien-decouverte-de-restes-importants-a-trois-rivieres-1