06 SEPTEMBRE 2016 NEWS: Halifax - Çavuştepe - Manne - St Denis - Loches - Deir el Medineh - Kalyata -
INSTITUT SUPERIEUR D'ANTHROPOLOGIE
INSTITUTE OF ANTHROPOLOGY
ONLINE COURSES / COURS A DISTANCE
FALL TERM : OCTOBER 2016
REGISTER NOW
CANADA – 
Halifax - Archeologists may be getting some help to unravel a historical oddity in the Halifax area. No one knows who built a series of walls with flat rocks overlooking Bayers Lake Business Park, but the Bayers Lake Mystery Walls have earned a fair amount of speculation. "There are all sorts of suggestions that it's an ancient site or a pre-Colombian site," archeologist Jonathan Fowler said Sunday."Imagination runs wild." Halifax council votes Tuesday on contributing just under $5,500 to study the mysterious site. Work is expected to begin next spring before vegetation grows in. The funding would help pay to analyze soil composition with a portable X-ray florescent system, instead of excavation. The survey would be "practically non-instrusive," only requiring archeologists remove sod and leaves temporarily, according to the proposal.
TURQUIE – 
Çavuştepe Castle - Ancient wheat and sesame seeds were discovered during excavations that began on Çavuştepe Castle in 2014. Çavuştepe Castle, which was built in the eighth century B.C. by Urartian King Sarduri II and has survived along with cisterns, city walls, temples and palace structures, is located in the Gürpınar district, 25 kilometers from the city center. “Three cereal storages were found during the excavations in the castle,” Çavuşoğlu said. “The castle is on the trade route through northwestern Iran, thus the findings may reveal some important information about trade at that time.” The seeds, confirmed to be 2,800 years old, will now be regenerated in a laboratory environment. Çavuşoğlu said the cereals cultivated from Gürpınar used to be preserved in storages in the castle.“The ceramic containers in which the cereals were stored are called pithos. Most of the harvests used to be kept in these containers,” Çavuşoğlu said.
INDE – 
Manne - The Karnataka archaeology department has finally woken up to the treasure in the city's backyard as it decides to take up conservation in the city's ruins, which was once a capital of the Ganga dynasty. One of three capitals of the western Gangas, Manne, will see excavation by the state archaeology department. "Manne is place of very high historical significance. A preliminary survey has been carried out. It was the capital of the Gangas, who ruled for more than nine hundred years. They were initially in Kolar. They then moved to Manne before moving finally to Talakkad. What was a Someshwara temple of Manyapura in ancient days, is today referred as a `Sule Gudi' or `prostitute's house' due to lack of historical understanding, awareness and conservation efforts. The structures still stand witness to the grandeur of the Gangas and has an imprint of Jainism. The temple, said to be built between 9-10th century AD, still has eye-catch ing architecture with life-size dwarapalakas, a mandapam with ornamental pillar carvings, typical of the Gangas.The roof has carvings of goddess Padmavathi and other Tirthankaras. Near a dried lake also exists a sapta-matri ka statue of the Ganga period. With seventeen pillars, the structure has been demolished and can be seen in a ruined state.
FRANCE – 
SaintDenis - Chaque année, le chantier de fouilles archéologiques programmées du Cygne délivre son lot de découvertes qui réjouissent les archéologues. Ce furent tour à tour des cuves de teinturiers, plusieurs tracés du lit du Croult, divers objets en céramique, des cuves de tanneurs, des puits et des traces d’habitat de différentes époques ou encore un bel abreuvoir en pierre. Cette année, nouvelles trouvailles avec l’apparition, à l’ouest du chantier, de plusieurs meules de moulin, dont l’une au moins est entière.« Nous sommes près du lavoir, quasiment au niveau de la nappe phréatique », précise Mathieu Ecrabet, qui conduit le chantier avec Michaël Wyss. Les archéologues ont déjà trouvé sept meules, certaines en plusieurs morceaux, d’autres entières. « Et il devrait y en avoir encore », lance Mathieu. « Ce fut pour nous une belle surprise en fouillant cette zone. On ne s’y attendait pas du tout », ajoute-t-il. C’est en recherchant les traces de l’un des fossés carolingiens que ces meules ont été mises au jour. D’après les premières estimations des archéologues, ces meules témoignent de la présence ici-même d’un moulin à eau remontant vraisemblablement au Xe siècle, qui fonctionnait avec les anciens fossés carolingiens mis en eau. « Il s’agissait sans doute d’un moulin à roue verticale, avec une grande roue si l’on se réfère à la dimension des meules que l’on a trouvées », indique Mathieu Ecrabet. Reste une question, à ce jour sans réponse : à quoi servait-il, que moulait-il ? Quoi qu’il en soit, c’est là le plus ancien moulin à eau découvert à Saint-Denis ; « Jusqu’alors, les plus anciennes traces de moulin que nous avions trouvées ne remontaient “que” au XIIIe siècle », sourit-il. Jusqu’à la fin du chantier, fin octobre, les archéologues vont rechercher d’éventuels éléments en bois appartenant au moulin, dont plusieurs éléments de construction en pierre ont été également découverts.
http://www.lejsd.com/content/une-surprise-en-forme-de-meules
FRANCE – 
Loches - C'est une découverte très importante pour la dizaine d'archéologues qui fouillent à Loches depuis 3 semaines. En début de semaine ils ont enfin trouvé cette pièce qu'ils recherchaient depuis plus de trois ans : la salle seigneuriale. Il s'agit en fait de l'une des trois pièces du palais médiéval érigé par le comte d'Anjou. Cette pièce était enfouie sous le parc du logis royal et il a fallu creuser pour retrouver des traces du mur. Si la découverte de cette pièce n'est pas totalement une surprise, c'est sa taille qui est surtout exceptionnelle. Les archéologues s'attendaient a une pièce de 150 mètres carrés, mais la taille estimée du mur laisse penser à une pièce de 500 mètres carrés. Pour autant la taille réelle n'a pu être vérifiée, impossible de creuser sur 500 mètres carrés dans le parc du logis royal. Les archéologues qui continuent les fouilles jusqu'à mi-septembre espèrent pouvoir effectuer une fouille radar, qui éviterait de creuser, courant 2017 pour en savoir plus.
https://www.francebleu.fr/infos/insolite/une-decouverte-archeologiques-loches-1472837691
EGYPTE – 
Deir el Medineh - Le site antique de Deir Al-Madina recèle actuellement de vestiges d’un village, d’une nécropole et d’une zone culturelle, laissés par la communauté d’ouvriers et d’artisans ayant oeuvré à la réalisation des tombes royales. Ce site, grâce aux témoignages uniques sur l’âge d’or égyptien qu’il a fournis (maisons des ouvriers, textes documentaires ou littéraires, dessins, céramiques et mobiliers divers), a permis aux archéologues et aux égyptologues de rendre compte de la vie quotidienne de cette période. Les habitants de Deir Al-Madina sont à l’origine d’une grande partie des tombes de la Vallée des rois et des temples funéraires qui longent la rive ouest du Nil. Sur le flanc de la colline bordant le village, les tombes des ouvriers ont été construites et décorées par les ouvriers de la nécropole eux-mêmes. Loin d’avoir livré tous ses secrets, ce site, fouillé par l’IFAO depuis 1921, continue activement à faire l’objet, chaque année, de fouilles et de nettoyages. La plupart des projets menés à Deir Al-Madina se basent sur une coopération entre différents spécialistes. « Les égyptologues qui étudient les tombes du site travaillent de pair avec des restaurateurs. En plus de préserver les monuments, ces derniers aident les égyptologues à mieux comprendre comment les décors ont été conçus, et surtout, ils améliorent la lecture des textes et des scènes par leur technique de nettoyage fine et précise. La mission travaille également avec un topographe spécialisé dans la photogrammétrie (modélisation 3D par photographie et production de photos orthonormées). L’emploi de cette technique permet, en outre, aux égyptologues de mieux comprendre le développement architectural d’une tombe, la manière dont elle a été creusée et son articulation par rapport aux autres tombes avoisinantes », explique le président de la mission, Cédric Gobeil
BULGARIE – 
Kalyata - A ceramic brazier, a container for hot coal typically used forheating, which dates back to the 6th century AD, i.e. the Early Byzantine period, has been discovered by archaeologists excavating the Late Antiquity and medieval fortress of Kalyatanear the town of Yakoruda in Southwest Bulgaria. The Kalyata Fortress is located in the Valley of the Mesta River, on one of the westernmost ridges of the Western Rhodope Mountains. It was first built in the late 4th – early 5th century, i.e. the Late Antiquity and Early Byzantine period, and saw its height in theHigh Middle Ages, more precisely in the 12th-13th century, when it was first part of Byzantium, and then of the Second Bulgarian Empire (1185-1396/1422).