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07 JUIN 2013 NEWS: Sebastapolis - Mons - Lake Michigan - Metz - Villejames - Richmond -

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TURQUIEn-48330-4.jpg Sebastapolis - After a 22-year hiatus, archaeological excavations will begin once again in the ancient city of Sebastapolis in the Central Anatolian province of Tokat’s Sulusaray district.  Sulusaray district administrator Yaşar Kemal Yılmaz said Sebastapolis was known as one of the most significant ancient cities in the Central Black Sea and Northeastern Anatolian region.  Yılmaz said the ancient city had been the capital of a number of states in the past. “One of the leading Roman cities, Sebastapolis, is regarded as a ‘second Ephesus’ by archaeologists and experts. It is a highly significant area. But because of some technical problems and a lack of interest, the excavations that were carried out between 1987 and 1991 were insufficient. The ancient city is in a bad and idle situation. It is reported in some resources that the ancient city of Sebastapolis was established in the 1st century B.C. The ancient city was included in the Cappadocia region after being separated from the Pontus Galatius and Polemoniacus states at the time of the Roman Emperor Trajan between 98 and 117 A.D. It was known as one of the five largest cities in the Black Sea 2,000 years ago because of the fact that it was located on passageways and thanks to its thermal sources, which are still being used today.  As an indicator of its wealth at the time of the Roman Empire, Sebastapolis had the authority to print money. It is reported that the city lost its importance and was forgotten over time, largely due to big wars, destruction, disasters and changes to passageways.

http://www.hurriyetdailynews.com/excavations-to-begin-in-ancient-sebastapolis-after-two-decades.aspx?pageID=238&nID=48330&NewsCatID=375

BELGIQUE – Mons - Une petite partie des fondations des anciens remparts de la ville de Mons a été découverte vendredi lors des travaux de démolition de la gare. Le découverte de fondation des remparts, à environ 1,50 m de profondeur et d'une épaisseur de moins de deux mètres à cet endroit, était prévisible dans le cadre du chantier de démolition de la gare de Mons. L'ancienne muraille était en effet située à l'endroit de la gare en cours de démolition et dans son prolongement. Les remparts de la ville de Mons, fortifications construites entre 1816 et 1825 sous le régime hollandais, avaient été percés en 1841 pour permettre l'entrée dans la ville de la ligne de chemin de fer dite "du Midi", reliant Bruxelles à la frontière française à Quiévrain. La première gare de Mons, construite en face de l'espace de la gare actuel, avait été mise en service en 1842.

http://www.rtl.be/info/belgique/societe/1008276/fondations-des-remparts-de-mons-decouvertes-lors-des-travaux-de-demolition-de-la-gare

USAlake-michigan-shipwreck-griffin.jpg Lake Michigan - An organization that believes it has discovered the wreckage of the oldest known shipwreck in the Great Lakes has received a state permit to conduct a test excavation at the site in northern Lake Michigan, officials said Tuesday. The Michigan Department of Natural Resources and the state archaeologist's office approved a plan by Great Lakes Exploration Group, which hopes to identify the vessel as the Griffin, also known by the French equivalent Le Griffon. Legendary explorer Rene-Robert Sieur de La Salle built and commanded the ship on behalf of King Louis XIV. During its maiden voyage in September 1679, the Griffin departed from the area near present-day Green Bay, Wis. Carrying a crew of six and cargo of furs, the ship was never seen again. The Griffin was the first full-sized ship to sail on the Great Lakes, and its fate is one of the Great Lakes' most enduring mysteries. Among many theories are that the vessel sank in a storm, was scuttled by a mutinous crew or was captured and burned by Native Americans.

FRANCEquatre-archeologues-de-l-inrap-ouvriront-en-public-a-metz-des-urnes-funeraires-scellees-depuis-environ-3-000-ans-l-emotion-est-assuree-photo-anthony-picore.jpg  Metz - L’animation proposée au musée de la Cour d’Or de Metz constitue un moment fort. Des urnes funéraires, jamais descellées depuis 3 000 ans, seront ouvertes devant le public. Ces urnes, déposées dans des nécropoles du Bronze final, entre 1350 et 800 avant Jésus-Christ, ont été exhumées lors d’un chantier de fouilles préventives sur le chantier d’aménagement de la Zac du Sansonnet, entre Metz et Woippy. En deux temps, entre 2012 et 2013, 25 urnes en céramique été récupérées à 40 centimètres de profondeur. Patiemment, méthodiquement, les archéologues ont localisé puis sorti précautionneusement les urnes encore prises dans la terre. Ils les ont ensuite enfermées une à une dans une coque en plâtre et remisées dans un hangar attenant aux locaux de l’Inrap à Metz. Sur la Zac du Sansonnet, aménagée sur d’anciens terrains agricoles, les archéologues ont retrouvé la trace d’une fosse qui correspond à la présence d’une habitation isolée. Les trous où étaient fixés les 15 à 16 poteaux qui entouraient la demeure d’environ 4 mètres de large pour 7 mètres de long ne sont plus visibles. « Donc impossible de reconstituer un plan précis » , constate Thierry Klag. Au Bronze final, l’incinération était encore en vogue, remplacée plus tard par l’inhumation. Les cendres et les os étaient disposés dans une urne en céramique, où étaient déposés également des objets en bronze, en or, ainsi que de minuscules perles de verre. « Elles font en général 4 millimètres de diamètre, nous allons tamiser très doucement » , précise Thierry Klag.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/06/06/urnes-ouvertes-apres-3-000-ans

FRANCEna60-3540813-1-px-512-w-ouestfrance.jpg Villejames - C'est d'ailleurs en voulant agrandir l'emprise commerciale, en 2008, avec une galerie imaginée pour relier le Leclerc au Centre culturel, que les fouilles préventives ont permis d'exhumer les fondations d'un manoir dont les traces avaient disparu depuis belle lurette. Ce manoir, dit de la famille Calon, a été une belle entreprise car les fouilles ont permis de découvrir la première partie, un bâtiment datant du 14e siècle, puis des ajouts architecturaux formant un L, entre les 15e et la fin du 16e siècle. À l'arrivée, une taille très imposante, 1 500 m2 habitables, avec une tour d'escalier, une cour avec des allées pavées, un mur d'enceinte… Un peu comme avec l'éruption ravageuse du Vésuve à Pompéi, figeant pour l'éternité les maisons, les fresques, et même les victimes, la « malchance » a voulu que ce manoir soit abandonné et laissé sur place, sans construction ultérieure, permettant ainsi de retrouver d'abondants matériels pour le reconstituer. Cela devient une « chance » pour l'archéologue, qui peut voir la progression des bâtiments sur trois siècles.

http://www.labaule.maville.com/actu/actudet_-Les-vestiges-d-un-manoir-a-decouvrir-a-Villejames_fil-2350869_actu.Htm 

USA8961828437-a450669bf8.jpg Richmond - For decades, an important piece of Maine history sat buried under the front yard of an old farmhouse in Richmond - hidden, for years, beneath a flower garden. When archaeologists finally discovered the site in 2010, it set off a race against the clock. Right near the banks of the Kennebec River, on Front Street in Richmond, more than a dozen people are wielding shovels, brushes, sifters, and trowels, combing through wet clay.  They're uncovering the remains of an 18th century fort called Fort Richmond. And they have to work fast, at least by archaeological standards. Fort Richmond had three incarnations. First, it was a military garrison, designed to protect new landowners.   "When the first garrison was built in 1721 by the Presumscot proprietors they were attacked, but we don't know what that attack meant - whether the Indians yelled obscenities at them or they fired at the fort or approached the fort in a big group and then ran away," Leith Smith says. "But needless to say in 1721 and 1722, the fort was, in theory, attacked." After that, the Massachusetts General Court approved construction of a larger fort, which was built immediately. Seventeen years later, in 1740, the British fortified a number of defenses, and built the final Fort Richmond.  But until now, much about Fort Richmond was a mystery. Archaeologists have so far unearthed walkways, walls, a cistern, chimney bases, cellars. But Leith Smith says they haven't found many artifacts. "And, in fact, the fort itself was kept very clean during its existence - a sort of military cleanliness I guess."

http://www.mpbn.net/News/MaineNewsArchive/tabid/181/ctl/ViewItem/mid/3475/ItemId/28332/Default.aspx