12 SEPTEMBRE 2018: St Paul’s Catacombs - Corent - Rakhigarhi - Saint-Brandan -
INSTITUT SUPERIEUR D'ANTHROPOLOGIE
INSTITUTE OF ANTHROPOLOGY
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FALL TERM : OCTOBER 2018
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MALTE – 
St Paul’s Catacombs - A woman buried at St Paul’s Catacombs almost 2,000 years ago is to be ‘brought back to life’ thanks to expert facial reconstruction techniques which will bring visitors face-to-face with an ancient local resident. Eventually, this facial reconstruction will form part of the site’s permanent display, Heritage Malta explained in a statement. The woman’s skeleton was discovered during archaeological excavations beneath the catacombs’ new visitor centre and was chosen for reconstruction as her skull was the only one found with a complete jaw. She is believed to have been between 18 and 27 and roughly 145cm tall when she died. Studies on the bones indicate that although the woman must have had a reasonably healthy childhood, she was already suffering from degenerative joint disease, possibly due to mechanical work. Osteoarchaeologist and forensic anthropologist Roberto Micciche, Adjunct of Anthropology at the University of Palermo, together with forensic anthropologist Daniele Di Lorenzo are carrying out reconstruction work. The project forms part of the post-excavation studies of the archaeological excavations held at St Paul’s Catacombs.
FRANCE – 
Corent - Une source aménagée en plein centre de l'oppidum gaulois, une maison néolithique de vingt mètres de diamètre, un rempart qui pointe son nez... Carton plein pour la campagne 2018... A l’époque gauloise, le plateau de Corent accueillait un vaste oppodium. La capitale des Avernes, avant la conquête romaine, devait probablement se trouver à cet endroit.
INDE – 
Rakhigarhi - Tout est parti de fouilles qui ont lieu depuis des années sur le site de Rakhigarhi, l'une des premières cités de la vallée de l'Indus, dans le nord-ouest de l'Inde, dans l'Etat actuel de l'Haryana. Cette ville a existé il y a plus de 4 500 ans, soit à peu près en même temps que l'émergence de la civilisation de l'Egypte antique. Sur ce site, des archéologues ont trouvé un squelette, et à partir d'un élément génétique isolé dans son oreille, ils auraient pu identifier quel groupe ethnique vivait dans cette région à cette époque. Et c'est de là que vient la mauvaise surprise pour les hindouistes : ces habitants ne ressembleraient pas aux habitants actuels de cette région. Depuis des années, les habitants du nord de l'Inde, et surtout les hautes castes des Brahmanes à la peau claire, affirment être les descendants de ces hommes qui ont créé l'une des plus anciennes civilisations du monde. Ils en tirent une fierté et justifient ainsi leur supposée supériorité sur les autres habitants du pays, et notamment les Dravidiens, plus petits et à la peau mate, qui habitent dans le sud de l'Inde. Sauf que - pas de chance - si l'on en croit ces derniers résultats de l'enquête révélés par le magazine India Today et bientôt publiés dans la revue Science, les premiers Indiens à avoir formé une civilisation urbaine ressembleraient davantage à ces êtres à la peau foncée du Sud. Et les Indiens de grande taille et à la peau claire ne seraient que des immigrés arrivés après cette période de genèse merveilleuse.
FRANCE – 
Saint-Brandan - Des fouilles archéologiques ont eu lieu à la Porte-au-Souda. Une voie romaine, des puits et un four à pains ont été retrouvés. Le chantier s’est terminé vendredi. « La voie romaine de Carhaix à Corseul, de 20 m de largeur, passait sur ce site. Nous avons retrouvé sa trace. Sur ce lieu habité entre le Ier et le IVe siècle, nous avons retrouvé neuf puits. Un petit four à grain, probablement d’époque médiévale, a également été mis à jour », explique Bastien Simier de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), responsable du chantier. De nombreux vases ont été retrouvés ainsi qu’une chaussure « d’époque ». La terre végétale recouvre de nouveau ces vestiges du passé.
