22 MARS 2017 NEWS: Cambridge - Lava - Cluny - Combe Grenal - Xinjiang - Erbil - Moscou -

INSTITUT SUPERIEUR D'ANTHROPOLOGIE

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ROYAUME UNITumblr inline on5wigtgmy1qgjbhq 1280 Cambridge - This is the reconstructed face of a man who died in Cambridge more than 700 years ago. It is believed he was homeless when he died as his body was found in the grounds of the Hospital of St John the Evangelist, which was a charity that provided refuge for those who had nowhere else to stay, were ill or infirm. His skeleton also shows signs that he had lived a tough life before his death sometime after the age of 40. Professor John Robb, of Cambridge University, who worked with experts at Dundee University to reconstruct the face, said the man “had quite a robust skeleton with a lot of wear and tear from a hard working life”. “We can't say what job specifically he did, but he was a working class person, perhaps with a specialised trade of some kind,” he said.“One interesting feature is that he had a diet relatively rich in meat or fish, which may suggest that he was in a trade or job which gave him more access to these foods than a poor person might have normally had. “He had fallen on hard times, perhaps through illness, limiting his ability to continue working or through not having a family network to take care of him in his poverty.” Analysis of his teeth showed he had stopped growing enamel twice while young, a sign that he was either seriously ill or starving. The back of his skull had also suffered a heavy blow, causing damage that had healed by the time he died.“He has a few unusual features, notably being buried face down which is a small irregularity for mediaeval burial,” said Professor Robb. The man, known simply as Context 958, was among 400 complete skeletons found when the graveyard was excavated between 2010 and 2012. They have been dated from the 13th to the 15th centuries.

http://www.independent.co.uk/news/science/archaeology/average-13th-century-man-look-like-difference-cambridge-dundee-university-chris-rynn-john-robb-a7640886.html

FRANCEW453 80835 la fiche interpol de recherche des monnaies du tresor de lava Lava - C'est un véritable scénario de polar ! L'interpellation début mars 2017 de trafiquants d'armes à Bastia (Haute-Corse), alors qu'ils s'apprêtaient à quitter l'île pour l'Italie, a fait émerger à nouveau un tout autre dossier. Celui du pillage du fabuleux trésor de Lava, du nom du golfe situé entre la pointe de Capo di Feno et celle de Pelusella, au nord d'Ajaccio (Corse du Sud).  Le butin de Lava est en effet un des plus incroyables trésors jamais trouvé en France. Les monnaies d’or qui le constituent ont toutes été frappées entre 262 et 272 de notre ère, sous les règnes des empereurs Galien, Claude II dit le Gothique, Quintille et Aurélien. Alors que de premières monnaies avaient déjà été trouvées dès 1956, c’est en 1986 que leur histoire a véritablement éclaté, lors de la cession d’un « multiple » de  Galien (monnaie d’or), au cours d’une vente aux enchères à Monte Carlo ! Alertés, les services du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm) avaient alors appris qu’elles provenaient… du fond de la mer, et donc du domaine maritime national. L’enquête judiciaire ouverte dans la foulée avait ainsi permis de comprendre comment une simple pêche entre plongeurs amis dans le golfe de Lava, s’était transformée au fil des décennies en véritable chasse au trésor. Des centaines d’objets et de pièces en or ont ainsi été illégalement récupérées pour être vendues sous le manteau à des collectionneurs. Selon certaines estimations, 600 d’entre elles auraient ainsi été écoulées. Les spécialistes évoquent plutôt le nombre de 1400. Les personnes arrêtées à Bastia début mars, s’apprêtaient à se rendre en Asie depuis l’Italie, pour vendre 16 monnaies d’or de Lava, qu’ils avaient caché dans des tampons à encre, pour ensuite acheter des armes et les importer en Europe.

https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/monnaies-d-or-et-trafic-d-armes-le-legendaire-tresor-corse-de-lava-resurgit_111390

FRANCEImg 0138 Cluny - Grâce à des fouilles annuelles, l'archéologue Anne Baud tente depuis 1992 de renouveler les connaissances sur ce site, qui fut à son apogée au XIIème siècle, le plus grand ordre monastique médiéval d'Occident. Depuis quelques années, la chercheuse s'intéresse particulièrement aux origines de l'abbaye. Quand les moines viennent s'installer dans la vallée de la Grosne en 910, le site est déjà occupé par une demeure aristocratique carolingienne. C'est à partir de cette « villa carolingienne » que la communauté va petit à petit développer son ordre et construire bâtiment après bâtiment - de plus en plus grand, de plus en plus majestueux - jusqu'à la construction de la plus grande église de la chrétienté, l'église « Cluny III », dont seulement 10% sont préservés aujourd'hui. Les fouilles ont dans leur majorité, permis de mettre à jour les fondations des premiers bâtiments, sur lesquelles les moines ont successivement reconstruit siècle après siècle. Ses découvertes ont permis à Anne Baud et son équipe d'établir des plans de l'abbaye au Xème siècle et de dévoiler des informations précieuses sur l'organisation de la communauté. Les fouilles ont également mis à jour deux sépultures dans le cloître, qui fait aujourd'hui parti de l'Ecole des Arts et Métiers. La première sépulture est masculine et date du IXème siècle. Il s'agit vraisemblablement d'un moine qui a eu droit à une inhumation privilégiée. La deuxième sépulture, datée entre 858 et 1020 et de sexe féminin, a été inhumée dans un sarcophage mérovingien de remploi. Une très belle découverte pour deux raisons : à ce jour, seulement trois exemplaires de sarcophages mérovingiens sont connus en France ; les inscriptions révèlent qu'il s'agit ici de Ava, la sœur de Guillaume d'Aquitaine, qui est le fondateur de l'abbaye de Cluny. Les campagnes de fouilles menées dans l'avenir seront la suite logique de ces découvertes. Elles permettront sans doute d'en savoir plus sur l'ancienne infirmerie monastique qui se situe actuellement dans la cour de l'école. L'équipe est d'ailleurs tombée sur des céramiques antiques en creusant profondément, ce qui indique qu'une villa antique pourrait se trouver en dessous de la villa carolingienne.

FRANCE - Combe Grenal - Fouilles sur le site néandertalien majeur de Combe-Grenal, situé sur la commune de Domme.

VIDEO = https://www.youtube.com/watch?v=paXvkixPwIo

CHINEForeign201703201724000342493429336 Xinjiang - More than 1,000 years ago, several dotted, flake-shaped sections of the GreatWall stood inXinjiang, protecting the border and the trade road. Recently, researchers from the China Institute of Remote Sensing and Digital Earth (RADI) under the Chinese Academy of Sciences (CAS) analyzed the distribution of ancient Great Wall sections in Xinjiang using remote sensing technology. They also used the technology to "restore" the wall's appearance. Remote sensing archaeology entails the use of electromagnetic waves and other sensors forlong-distance observation and detection of surface and underground remains. Aerospace development, and especially the increased resolution of remote sensing satellites, has provided greater precision and a more efficient platform for remote sensing archaeology. Nie Yueping, a researcher at RADI, explained that electromagnetic waves produced by vegetation, soil and geomorphology are different from those of historical sites. Such differences cannot be seen by the naked eye. However, special equipment can obtainelectromagnetic wave data via remote sensing platforms such as space shuttles, satellites and unmanned aerial vehicles. Archaeological information then can be extracted from thedata through computer processing. So far, more than 600 ancient remnants of the Great Wall have been found. Yu Lijun, anassociate researcher at RADI, said that the team has outlined a Great Wall ressource distribution line, and are working to "restore" images of the ancient Great Wall. Through virtual reality technology, people may soon be able to take an online tour of the remains inXinjiang. Compared with traditional archaeological methods, remote sensing has many advantages. With the popularization of satellite technology, remote sensing data can be obtained under all weather conditions. Moreover, the cost of using the technology is relatively low, and causes little damage to ancient remains.

http://en.people.cn/n3/2017/0320/c90000-9192632.html

KURDISTANAssyriansite kurdistan24 Erbil - An ancient Assyrian temple, dating back 3,000 years B.C., was discovered in Erbil on Monday, two kilometers away from the Erbil citadel. A Kurdistan24 team embedded with Erbil archaeologists visited the newly-found ancient site. According to a Kurdistan24 reporter, the antique site, nearly 10-meters underground, was uncovered when a local company was working on a residence project in one of Erbil’s neighborhoods. Qadri Qurbani, a Kurdish archaeologist, told Kurdistan24 all the findings in the ancient site were similar to previous discoveries in other Assyrian sites. Qurbani added the Assyrian temple was three meters long and two meters high. The site included the graves of four people, two of them were buried in specialized coffins. Qurbani explained there was a similar temple in the Klk Mishk area in Erbil’s Araban neighborhood which also belongs to Assyrians.

VIDEO = http://www.kurdistan24.net/en/news/4324a238-8853-4511-aa47-719be32029bb/VIDEO--Ancient-Assyrian-site-discovered-in-Erbil-

RUSSIE1164026 1 Moscou - Archaeologist taking part in renovating Moscow’s streets discovered more than 7,000 historical finds, head of the Moscow Culture Heritage Department Alexey Yemelyanov said on Tuesday. According to him, in 2016, a decision was made to create a museum in the Zaradye park that will be situated in an underground passage near the Moskvoretskaya embankment. The 16th century historical stonework, the walls of Kitai-Gorod, the wooden bridges from Zaryadye, dating back to the 18th century, and the archeological finds discovered during research work while setting up the Zaryadye park, including a birchbark manuscript from 15th to 17th century, are planned to be put on display there.
http://tass.com/society/936634

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