26 OCTOBRE 2016 NEWS: Arles - Abbeville - Cazaville - Mirak -

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FRANCE Maxpeopleworld667660 Prog2  Arles - Les fouilles menées depuis cet été à Arles ont permis de mettre au jour des vestiges exceptionnels.Avec son équipe,  Luc Long, découvreur du buste de César, vient de remonter du Rhône une des pièces manquantes d'une statue très connue dans la région, celle du Dieu Neptune. Le mollet gauche de Neptune. Il dormait dans le lit du Rhône, par 15 mètres de fonds, depuis 18 siècles. Ce fragment de statue en marbre du mont Pantélique en Grèce vient compléter la statue d'un 1,80 m découverte dans les eaux du Rhône. Au total lors de ces fouilles, ce sont 2500 éléments qui ont refait surface, des céramiques, pièces de monnaie, ossements, et morceaux de bois. Ils vont tous être répertorier. Les conditions exceptionnelles de visibilité sous l'eau, exceptionnelles cette année, ont permis aux plongeurs archéologues de mettre au jour des vestiges antiques plus importants comme les traces d'un pont de bateau.
VIDEO = http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/arles/mollet-neptune-repeche-eaux-du-rhone-1114341.html

FRANCE1674785905 b9710036567z 1 20161021195423 000 gqe7rfu72 2 0 Abbeville - C’est une découverte exceptionnelle, qui remet Abbeville sur le devant de la scène préhistorique. Cette semaine, des archéologues ont profité des travaux d’aménagement à venir dans le quartier de l’Espérance pour réaliser des sondages. Dans les couches de sable, à plus de 5 mètres de profondeur, ils ont retrouvé une dizaine de silex taillés. Ces outils primitifs, a priori destinés à un usage domestique, attestent de la présence de l’homme sur ce territoire il y a environ 700 000 ans. Ce qui en fait la trace la plus ancienne de Picardie, et sans doute du nord de la France. Jusqu’à présent, elle avait été relevée à Amiens, rue du Manège, et datée de – 550 000 ans. Ces objets ont pu être datés en fonction des couches géologiques dans lesquels ils ont été trouvés. Et sont la preuve qu’attendaient les chercheurs. Toutefois, Marie-Hélène Moncel et Pierre Antoine, géologue au CNRS, ne sont pas intervenus dans ce quartier par hasard. Les 200 logements, rebaptisés l’Espérance, ont été bâtis sur le site du Moulin-Quignon : une ancienne carrière de sable rappelant que le cours de la Somme passait à cet endroit il y a plusieurs centaines de milliers d’années. Elle est un témoin des temps anciens, comme les carrières Carpentier (route de Doullens) et Léon (route d’Amiens), qui ont été préservées et fouillées. Le Moulin-Quignon fut l’un des premiers sites sur lesquels Jacques Boucher de Perthes (1788-1868), considéré comme le père de la préhistoire, a travaillé au XIXe siècle. Il y avait découvert des bifaces, des pierres taillées, lui donnant l’intuition d’un homme préhistorique. Léon Aufrère avait également repéré des indices, dans les années 60, au moment de la construction des immeubles. Des observations de Boucher de Perthes ne subsistaient que des notes. Et aucune fouille n’avait pu être menée depuis, dans cette zone désormais urbanisée. Le projet d’aménagement des espaces verts du quartier était une occasion unique pour les chercheurs d’y retourner. Ils l’ont saisie.«  C’est un jalon très important  », apprécie Jean-Luc Locht, archéologue à l’Inrap. Il montre que l’homo erectus, arrivé d’Afrique il y a un million d’années, avant de coloniser peu à peu l’Europe, est passé par la vallée de la Somme, il y a près de 700 000 ans. En ce début de période glaciaire, le paysage devait être moins boisé qu’aujourd’hui, ressemblant peut-être à une steppe, avec un climat plus continental. Cet homo heidelbergensis, qui devait mesurer environ 1,60 m, avec des arcades sourcilières proéminentes et un menton fuyant, était un nomade, un chasseur-cueilleur, se déplaçant en suivant les migrations du gibier.

http://www.courrier-picard.fr/region/archeologie-le-plus-vieux-des-picards-vivait-a-abbeville-ia0b0n868988

CANADA Image 45 Cazaville - Les fouilles menées l'été dernier par l'équipe d'archéologues de la MRC du Haut-Saint-Laurent dans le secteur de Cazaville ont permis de mettre en lumière un gisement plus grand et plus ancien que prévu, témoignant de la présence iroquoïenne. Les premières fouilles réalisées à l'été 2015 avaient déjà démontré l'existence de vestiges de l'occupation iroquoïenne dans ce secteur, et les nouvelles évaluations de l'été dernier, avec l'aide de stagiaires de la communauté mohawk «nous laissent ébahis devant l'ampleur des trouvailles», mentionne l'archéologue Michel Gagné. Baptisé Isings, du nom de la propriétaire des lieux, le site se trouve sur une grande butte de sable totalisant près de 10 000 mètres carrés. Cependant, des artéfacts trouvés en périphérie du site laissent croire à une occupation qui pourrait surpasser en superficie celle du site Droulers-Tsiionhiakwatha, déjà considéré comme le plus important site iroquoïen au Québec. Les archéologues ont découvert sur place des vases de céramique, des ossements d'animaux, des grains de maïs carbonisés, de même que des traces de fosses et de foyers. Tous des éléments qui dénotent l'orientation villageoise et horticole typique aux peuples iroquoïens. Qui plus est, l'occupation du site Isings remonterait vraisemblablement aux années 1200 à 1250, alors que celle du site Droulers est estimée aux alentours de 1375. Tout laisse à penser que certains groupes, au fil du temps, s'établirent graduellement sur cette butte accueillante et fondèrent une communauté villageoise, comme le laisse supposer la présence de vestiges probables de maisonnées.»

http://www.journalsaint-francois.ca/culture/2016/10/21/un-site-archeologique-d-une-ampleur-inesperee-.html

IRANImage 650 373 Mirak - Results of chronology tests conducted in Mirak Paleolithic region of Semnan indicates that the oldest layers of this site date back to 63,000 years, said the head of an Iranian-French archeological team. Hamed Vahdati-Nasab further said that after lapse of 10 days of the start of second excavation season in Mirak site, Iranian and French archeologists and geologists came across significant evidence. The team's mineralogy group managed to identify the raw material used by Paleolithic era inhabitants to make tools at a location two kilometers to the southeast of the site, he said. He added that the chert and flints stones used to be swept from mountains overlooking Semnan ― reaching the area via a river, and used for making tools. Vahdati-Nasab had earlier put the antiquity of the site at 40,000 years on basis of chronology tests conducted during the first excavation season.The second excavation season, which was undertaken after a permit was obtained from the Research Center of Iran Cultural Heritage, Handicrafts, and Tourism Organization and financial support from Semnan Cultural Heritage Department, will continue for 20 days. Vahdati-Nasab earlier said that archeological studies in the Mirak area can serve as an index for recording habitation in the Central Desert. He also listed access to the depths of the human settlement, clarification of ancient climatic conditions of the area and a conclusive chronology of human settlements as the main targets of the primary excavations. The archeologist said sedimentary findings reveal that Mirak Desert which is a dry area had once had a wet environment and perhaps been a wetland or a semi-forest region. Mirak and Delazian regions which are also known as Mirak and Delazian Hills were first identified in archeological studies in 1985-86. The most important features of the two regions is the very wide distribution of stone tools on the ground of the area. Later in 2008-2009, random samplings were made by Vahdati-Nasab in Delazian and the result was forwarded to the Ancient Middle East Archeological Congress in Sapienza University of Rome.

http://iran-daily.com/News/170920.html?