27 FEVRIER 2012 NEWS : Madurai - Chawkandi - Saintes - Luxé - Saint Raphaël - Xi'an -

INSTITUT SUPERIEUR D'ANTHROPOLOGIE 

INSTITUTE OF ANTHROPOLOGY

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INSCRIPTION  2012 /  Session II : Avril 2012

REGISTRATION 2012 /  Term II : April 2012

INDE – 27thmahal-935675f.jpg Madurai - It is a 375-year-old monument that stands testimony to the glorious years of the Nayak regime. Now, only one-fourth of its original structure remains intact, and yet the King's palace, popularly known as Thirumalai Nayak Mahal, here continues to enthral tourists and historians alike. Widely considered as the most illustrious of the Madurai Nayak dynasty, King Thirumalai Nayak constructed the palace to mark the shift of his capital from Tiruchi to Madurai, which was supposed to have been done for strategic and administrative reasons. The building was constructed with methods and techniques that were considered very novel in those years and its architecture is a confluence of three major cultures. While no record exist, he says that the King was said to have utilised the services of an Italian architect to design the Mahal. While the palace's arches and domes were inspired from Indo-Saracenic Architecture, the massive pillar columns reflect the Gothic (German) style. The construction of the Mahal was estimated to have commenced at around at 1629 and completed at 1636. The main reason for the palace's decline, he says, was the decision of King Thirumalai Nayak's descendants to shift the capital back to Tiruchi. Towards this, many parts of the Mahal were dismantled and taken to Tiruchi. However, the palace was never constructed at Tiruchi and with the capital shift the Madurai palace fell into disuse.

http://www.thehindu.com/news/states/tamil-nadu/article2936078.ece

PAKISTAN3741300-chawkandi-graveyard-karachi.jpg Chawkandi - The first national conference on Chawkandi tombs was held on Saturday by the Sindh Culture Department at the Chawkandi graveyard located 29 kilometres east of Karachi on the National Highway 5. A national level dialogue on one of Sindh’s most beautiful heritage sites in the metropolitan that has great architectural and archaeological significance raises hope for its protection and preservation by public authorities, particularly the provincial culture department and the city’s civil administration. During the conference, experts highlighted the history of the Chawkandi tombs and said these graves were built between the 15th and 18th centuries, and the architectural techniques and designs were unique to the Islamic world of the time. Members of the Jokhio, Burfat, Kalmati and other Baloch tribes are buried in these intricately carved graves constructed from beautiful yellow stone taken from Thatta’s Jungshahi. Shah Latif, the great Sindhi poet and saint of international repute, eulogised the tales of these tribes’ bravery in his poetry. Dr Kaleemullah Lashari, an archaeologist, historian and career civil servant who authored ‘A Study of the Stone Carved Graves’, identified “atmospheric degradation, rapid industrialisation in the vicinity and mushroom growth of development activity around the graveyard” as the major factors responsible for the decay and degradation of the site.

http://www.pakistantoday.com.pk/2012/02/all-is-not-lost-for-the-historic-tombs-of-chawkandi/

FRANCE – Saintes - Un tronçon de 17 kilomètres de cette œuvre d'art gallo-romaine, réalisée il y a plus de 2 000 ans, vient d'être classé au titre des Monuments historiques. Si une partie du parcours a déjà été mise en valeur, d'autres éléments de cet aqueduc qui court sur les communes de Vénérand, Saintes, Le Douhet et Fontcouverte, restent encore à découvrir. Un feuilleton passionnant dont le troisième épisode balaie trois ans de fouilles, du pont des Arcs au pont de Hautmont en passant par le bois dit de la Tonne, sur la commune de Fontcouverte. « Nous sommes tombés, par un concours de circonstances, sur des puits menant aux galeries de l'aqueduc. Ce qui nous a permis d'avancer dans nos connaissances, raconte Joël Morin, adhérent de la société. C'est notre prospecteur national qui a commencé par trouver, par hasard, dans un petit chemin, trois cailloux collés les uns aux autres. Il a compris qu'il s'agissait d'une margelle de puits. » Après la découverte d'un second puits dans la même zone, des recherches sont entreprises dans le bois dit de la Tonne. « Un jour, nous y croisons quelqu'un qui nous invite à voir dans son verger quelque chose qui pourrait nous intéresser. Et là, nous tombons sur un nouveau puits carré de 15 mètres de profondeur », poursuit Joël Morin. La descente dans celui-ci débouche sur deux petites galeries d'une trentaine de mètres partant de chaque côté. « Elles sont dans un très bon état de conservation », indique le fouilleur. D'autres puits ont également été repérés mais n'ont pas été vidés.

http://www.sudouest.fr/2012/02/27/l-aqueduc-se-devoile-encore-un-peu-plus-644288-1531.php

FRANCE – Luxé - Un second bâtiment gallo-romain sous la route. Les investigations archéologiques entreprises par Claude Brège et Laurent Vaudin à Luxé à l'occasion des travaux de réfection d'un mur de soutènement le long de la RD 32 donnent des résultats. Les premiers éléments retrouvés ont incité la direction régionale de l'Archéologie à donner son feu vert pour un sondage plus approfondi de cette zone. Les deux chercheurs ont jusqu'au 13 mars pour travailler sur ce site qui vient de livrer de nouvelles informations: «On a découvert les bases d'un second bâtiment, explique Claude Brège. Toujours d'époque romaine, en prolongement du premier. Il s'agit d'un bâtiment d'une vingtaine de mètres de long, appuyé sur une base très solide dotée de six puissants contreforts. La base vraisemblable d'un bâtiment très imposant, posé à deux pas de la Charente.»

http://www.charentelibre.fr/2012/02/23/un-second-batiment-gallo-romain-sous-la-route,1081096.php

FRANCEcarac-vignette1-1.jpg – Saint Raphaël - À l’origine, une simple enquête de routine sur un accident de plongée. Les investigations ont conduit la gendarmerie du Var à une chasse au trésor mettant en cause des plongeurs amateurs qui ont pillé plusieurs sites archéologiques antiques en Méditerranée. Parmi les objets récupérés, une partie date du Ier siècle avant J.-C. Les plus récents datent du Xe siècle et sont d’origine sarrasine, témoignage extrêmement rare qui présente un intérêt majeur pour les communautés d’historiens.

http://www.lejournaldesarts.fr/site/archives/docs_article/98126/enquete-sur-deux-pilleurs-de-sites-archeologiques-sous-marins-au-large-de-saint-raphael.php

CHINE – Xi’an - Une mystérieuse tombe qui pourrait être celle du dernier empereur de la dynastie Qin (221 av. J.-C. à 206 av. J.-C.) ne sera pas fouillée avant des études approfondies pour établir un plan de protection approprié, a-t-on appris auprès des autorités du patrimoine culturel de Chine. L'Administration d'Etat du patrimoine culturel (AEPC) a rejeté une demande pour mener des fouilles de la tombe supposée de Ziying, le petit-fils de Ying Zheng, l'empereur Qinshihuang (259 av. J.-C. à 210 av. J.-C.) et la première personne à avoir unifié la Chine. Selon des sources auprès du bureau du patrimoine culturel de la province du Shaanxi, l'AEPC a rejeté la demande principalement en raison de la proximité géographique de la tombe avec le célèbre mausolée Qinshihuang. La tombe, découverte en 2003, se situe à environ 500 mètres au nord-ouest du mausolée Qinshihuang, dont la fouille est interdite par les autorités de peur de l'endommager. Les autorités archéologiques du Shaanxi avaient proposé de fouiller la tombe, dont le site mesure 109 mètres de long et 26 mètres de large, dans le cadre de leurs enquêtes autour du mausolée du premier empereur chinois, connu pour son armée de terre cuite, à Xi'an, capitale du Shaanxi. Dans sa réponse officielle, l'AEPC indique que compte tenu de la proximité avec le mausolée Qinshihuang, des études et évaluations approfondies doivent être réalisées afin d'établir un plan de protection approprié. L'emplacement de la tombe et sa structure de rang impérial portent à croire qu'elle appartiendrait à Ziying, le troisième et dernier empereur de la dynastie Qin. Les documents historiques montrent que le jeune empereur n'a porté son titre que 46 jours avant que l'empire ne soit renversé par les rebelles et qu'il ne soit tué. L'emplacement de sa sépulture reste depuis un mystère.

http://french.peopledaily.com.cn/Culture/7741237.html